La devise écrite de la maison Google "Ne pas faire le mal" n'est peut-être pas assez libérale pour les investisseurs américains, et l'interview donnée par les deux fondateurs de la start-up au magazine Playboy n'a pas arrangé leurs affaires.
Résultat des courses, alors qu'on annonçait au début du mois d'août une valorisation supérieure à 30 milliards de dollars, celle-ci est tombée ces dernières heures à 25,8 milliards de dollars.
Mais il en faudra sans doute plus pour briser le moral des habitants du Googleplex
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