J'avais découpé ce dessin de Schulz dans un quotidien il y a exactement 30 ans aujourd'hui. Ce bout de papier est longtemps resté en bonne place, collé, décollé puis recollé d'une année sur l'autre sur la page de garde de mon agenda, exergue en forme d'avertissement annuel et de mise en garde contre les dangers de notre société de consommation.
L'invention des agendas électroniques a relégué mon Snoopy au fond d'un tiroir (encore que je pourrais le mettre en page d'accueil de mon Palm...).
30 ans après, le message me semble ne pas avoir pris une seule ride, même si je suis bien conscient qu'une grande partie de l'humanité qui crie famine aujourd'hui ne se ferait pas prier pour adopter les principes philosophiques du petit Beagle.
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